texte : Miguel de Cervantes Saavedra
illustrations : Mickaël Hœbregs
traduction : louis viardot - V. 2 (1836)
Le propre de l'Artiste est de continuer à vivre après sa mort à travers son oeuvre. 400 ans que le tome 2 a été édité, quatre siècles que l'Histoire de l'ingénieux hidalgo de la Mancha reste une référence. Pour la première fois toute l'Histoire de don Quichotte a été dessinée en vectoriel1 sur tablette numérique & s'inscrit dans le virtuel, autant destiné au Cloud qu'à la matérialisation optimum pour entrer dans la postérité. J'ai travaillé sur l'histoire de ce personnage voilà quelques années pour le design de la scénographie d'un spectacle de Benjamin Belaire. En 2014 le chevalier à la triste figure m'a rappelé. La narration graphique captive l'œil curieux & amusé du tout public auquel il ne faudra qu'un pas pour ensuite lire le roman de Cervantes. Mon œuvre a été présentée pour la première fois à la Maison de l'Europe & des Relations Internationales de Montpellier sous forme de monotypes avec l'impulsion de Georges Andreu, directeur du Centre Culturel Hispanique don Quichotte que je remercie infiniment.
The ten incarnations of Vishnu are a recurrent theme in Vedic history. Vishnu exists outside the materialrealmasthecreator,andheexistswithin every being as the Supersoul. He also enters this world as avatar,one who descends, to restore balancewheneverhispresenceisneeded.His descent is described by Krishna : Whenever there is a decline of religion, and a rise of irreligion, I incarnate myself. To protect the good, to destroy the wicked, and to re-establish religious principles, I appear in every age.
There are said to be more incarnations of Godhead than there are waves in the ocean. It is also said that Vishnu incarnates in all species of life. The ten avatars of Vishnu are of particular interest because He takes progressively more developed forms, from fish, tortoise and boar to half-animal, half-man, and finally human form. That God should incarnate as an animal, even a supernatural one, shows that animals have an important role to play in God's eyes. They are not simply dumb beasts, or livestock meant for satisfying human needs and appetites. They are living expressions of the spirit and of the presence of God.
In his Gita Govinda, an elaborate poem of devotion to Krishna, the poet Jayadeva composed ten verses in praise of Vishnu's avatars. I have included with each verse the story of that incarnation.Thetalesoftheseincarnationshave had a profound influence on Hindu culture.
The Museum of Sacred Art is a Foundation based in Brussels dedicated to promoting Indian and ISKCON (Hare Krishna) SpiritualArt.Ithas12CollectionsofIndianArtistsand12 Collections of ISKCON Artists. Each Collection is an Exhibit in itself and they all have nicely produced catalogues. Besides these 24 Collections/Exhibits/Catalogues MOSA is organising this wonderful exhibit entitled Narasimha and the Avatars which includes more than 60 artists from all the 24 Collections. MOSA is also preparing another exhibit drawn from its Collections entitledShakti : Fair and Fierce-PathBreakingWomenArtistsofIndia.Itincludesover20 ContemporaryArtistsfromtheMOSACollectionsaswellasover 10 Women Embroidery Artists from Kutch and Bihar. MOSApresentsitsCollections/Exhibits/Cataloguesinitsown Galleries in Radhadesh, Belgium, Villa Vrindavan, Italy and ISKCON Tenerife,SpainaswellaswellknownMuseumsandCultural CentersthroughouttheworldwithafocusonEurope.Italso organises Residencies for Artists in Tuscany, Italy and loans Art to MOSA has also produced a major book entitled Forms of Devotion: The Spiritual in Indian Art & a wonderful Documentary directed by Goutam Ghose called Studios of Devotion. It is supported by the Indian Government through the ICCR-Indian Council for Cultural Relations from the Ministry of Foreign Affairs. MaythevisitorstoMOSAenjoythisamazingexhibitdepictingthe Avatars of Krishna/Vishnu with a focus on Narasimha Avatar. ILLUSTRATIONS BY M. HŒBREGS ©2023
museum of sacred art | mosafoudation.orgcasses complètes
TrueType est un format de fonte numérique créé par Apple vers la fin des années 1980, pour concurrencer le format PostScript Type 1, standard développé par Adobe. Comme pour ce dernier, la forme de chaque glyphe d'une police TrueType est définie par des courbes mathématiques, les courbes de Bézier quadratiques, ainsi que par des algorithmes d'optimisation (« hinting ») sophistiqués. Ceci constituait une avancée importante par rapport au rendu d'images matricielles (ou « bitmap »), car il était possible de synthétiser une police à plusieurs tailles différentes, en atténuant de surcroît le problème du crénelage. Histoire : TrueType a été connu au cours de son stade de développement, d'abord par le nom de code « Bass » et plus tard par le nom de code « Royal »1. Apple vendit une licence à Microsoft pour lui permettre d'utiliser les polices TrueType. Depuis, les polices sont parfaitement compatibles entre Mac OS et Windows. Cependant, au début il n'y avait pas une compatibilité réelle avec le Macintosh et il fallait employer des utilitaires comme PANOSE pour contourner la difficulté. Principe : Les fontes numériques TrueType utilisent des splines quadratiques pour leur représentation. Cette représentation géométrique permet d'afficher les caractères en grande taille (corps 14 et plus) sans aucun effet de marches d'escalier. Algorithmes d'optimisation : La granulation des pixels pouvant créer des effets optiques indésirables pour certaines petites tailles de caractères, la spécification TrueType admet des indications supplémentaires permettant de les éviter. Elles sont nommées en terminologie TrueType des algorithmes d'optimisation, ou « hints ». Celles-ci permettent l'utilisation de techniques que connaissaient bien les concepteurs de fontes depuis que la photocomposition les avait rendues nécessaires. En revanche, la conception de polices TrueType utilisant les hints est fastidieuse, et les fontes ne les utilisant pas n'ont pas la même efficacité optique : elles donnent dans certains corps l'impression de « baver ».
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Le genre Ophrys regroupe des orchidées (famille des Orchidaceae) terrestres euro-méditerranéennes et est répandu du sud de la Scandinavie à l'Afrique du Nord et des îles Canaries à la mer Caspienne.
Plantes présentant 2 ou 3 tubercules, des feuilles en rosette basale et une hampe florale laxiflore et en général pauciflore (1 à 14 fleurs). Les fleurs ont les sépales et les pétales latéraux étalés. Le labelle est sans éperon, plus ou moins entier, muni à la fois d'une pilosité importante et d'une zone glabre appelée macule. C'est sans doute cette pilosité qui a valu son nom au genre, le mot ophrus signifiant en grec « sourcil ». La particularité la plus remarquable dans ce genre est constituée par les relations qui se sont développées avec les insectes et, en particulier, différentes espèces d'abeilles sauvages. Le labelle des Ophrys, en imitant un corps d'hyménoptère (exceptionnellement de coléoptère), provoque de furieuses pseudocopulations de la part des mâles, attirés par des substances émises par les Ophrys qui évoquent des phéromones sexuelles de la femelle correspondante. Suivant les espèces, on a une pollinisation céphalique (le mâle emportant les pollinies collées sur la tête) ou une pollinisation abdominale quand la pseudocopulation se fait dans la position inverse (exceptionnellement en position latérale). Ce mécanisme est très précis et explique la radiation évolutive rencontrée dans ce genre qui compte environ 150 à 300 espèces et sous-espèces d'ophrys sur leur aire de répartition.
ÉDITION
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